Le 18 octobre a été célébrée la Journée de la mini-jupe au Japon, date qui commémore l'arrivée de la célèbre icône de la mode Twiggy en 1967, qui a joué un rôle clé dans le démarrage du boom de la mini-jupe dans le pays. Ce phénomène de mode, qui a radicalement changé le style vestimentaire des jeunes, trouve son origine au Royaume-Uni, où la créatrice Mary Quant, surnommée la « Reine de la Mini », a lancé la première mini-jupe en 1958.

L’arrivée de Twiggy, célèbre actrice et mannequin britannique, au Japon en 1967 fait sensation. Son style audacieux et jeune, qui incluait la mini-jupe comme vêtement remarquable, a rapidement influencé la mode japonaise. Peu de temps après sa visite, des célébrités locales ont commencé à adopter ce style, consolidant ainsi la mini-jupe comme icône de la mode au Japon. Ce mouvement est également alimenté par le lancement de la première mini-jupe au Japon, la « Teijin L (テイジンエル) » par l'entreprise textile Teijin, en 1965.

Depuis lors, la mini-jupe a maintenu une présence constante dans le monde de la mode, non seulement au Japon, mais dans le monde entier. L'influence de la mini-jupe a transcendé les générations et continue d'être un vêtement phare de la mode décontractée comme des tendances plus audacieuses. Son impact ne se limite pas aux vêtements de tous les jours, mais il est également largement présent dans la culture populaire.

La minijupe a laissé une marque significative dans la culture de l’anime et du jeu vidéo. Un exemple notable est l'anime classique « Bishoujo Senshi Sailor Moon », qui a popularisé l'utilisation de minijupes dans la conception de ses personnages principaux, les Sailor Scouts. Ce détail visuel est devenu une icône au sein de l’anime et reste une référence pour de nombreuses séries qui ont suivi.

En plus, Les jeux actuels comme « Genshin Impact », « Azur Lane » et « Blue Archive » incluent plusieurs personnages féminins qui portent des minijupes dans le cadre de leur conception.prouvant que ce vêtement reste populaire aussi bien dans la mode réelle que dans la représentation de personnages fictifs.